Courtes pensées

J'aurais aimé t'aimer
Comme on aime le soleil
Te dire que le monde est beau
Et que c'est beau d'aimer
J'aurais aimé t'écrire
Le plus beau des poèmes
Et construire un empire
Juste pour ton sourire
Devenir le soleil
Pour sécher tes sanglots
Et faire battre le ciel
Pour un futur plus beau
Mais c'est plus fort que moi
Tu vois je n'y peux rien
Ce monde n'est pas pour moi
Ce monde n'est pas le mien

Je sais que tu me mentais
Derrière des mots tendres pour me protéger
Tes paroles sont comme un rêve
Mais les rêves ne peuvent pas me tromper
Ce n est pas juste pour moi

"Ne t'inquiète pas, je reviendrai"
Je t'ai entendu murmurer ces mots alors que tu franchissais la porte
Je me suis endurci pour cacher ma douleur, quand j'y repense
Pleurer aurait peut-être été la réponse
Que se serait-il passé si j'avais pleuré et t'avais supplié de ne pas partir ?

Un millier de mots n'ont jamais été prononcés
Je te les envoie aussi loin que tu sois
Portés par des ailes scintillantes
Un millier de mots n'ont jamais été prononcés
Ils te garderont, t'inciteront à ne plus me sembler si lointain
Et te retiendront pour toujours

"Ne t'inquiète pas je t'écrirai"
Je t'ai entendu murmurer ces mots alors que je détournais les yeux
Je me suis endurci pour cacher mon amour, quand j'y repense...
La colère aurait pu être la réponse
Mais si j'avais secoué la tête et dit que je ne peux pas attendre ?

Le rêve n'est pas encore terminé…

joli

très beau

^^ n'exagères pas :p

j'aime bien:P

Quand tu m’as rencontré
J’étais si pitoyable…
Toujours à me lamenter
Sur ma vie lamentable.

Sans connaître le pourquoi,
Je me suis confié à toi.
Malgré ton propre désarroi,
Tu as écouté ma voix.

Tu m’as ouvert les yeux :
Si je continue comme ça,
Je serai malheureux
Et que ça doit s’arrêter là !

Tu as réussi à me libérer
D’un tel poids sur le cœur
Que je ne te remercierai jamais assez.

J’ai alors voulu aussi t’aider,
A te libérer de tes démons passés.
Je ne m’y attendais vraiment pas,
Mais je suis tombé amoureux de toi…

Malgré mon cas désespéré,
Tu as bien voulu m’accepter…
J’étais tellement réjoui,
Que j’ai commencé à croire en la vie.

Mais les problèmes étaient déjà là,
Tapis dans l’ombre de notre passion…
Ils t’ont éloigné de moi
Et me font perdre la raison.

Je ne peux pas revenir en arrière,
Mon amour pour toi est sans limite…
Quelle douleur quand tu m’évites…

Tu me dis que tu ne doutes pas de moi,
Et que ce qui est fait relève du passé ;
Pourtant c’est bien ce qui est arrivé
Qui fait que tu ne veux plus de moi…

Je ne crois plus en l’avenir;
Je ne suis soulagé qu’une fois ivre…
Ca n’apporte pas de solutions,
C’est juste que je touche le fond…

Je voudrai juste savoir quoi faire
Pour que l’on fasse de nouveau la paire ;
Je voudrai pouvoir te dire, à chaque coucher de soleil,
Que tu es une pure merveille ;

Te dire à quel point je t’aime,
Peu importe où ca nous mène ;
Te certifier que, à tout instant,
Je pense à toi et à nos meilleurs moments,

A tes mots tendres, à tes doux baisers,
A la pureté de ton âme et à la beauté de tes yeux,
A ton intelligence et à ta générosité,
A tes cheveux si soyeux…

Mais je ne le dois pas,
Je dois garder tout cela en moi…
Alors j’en souffre et j’en pleure ; chaque jour,
Je supplie qu’on achève mon cœur lourd…

Même si tout semble perdu,
Je ne ferai pas le deuil de mes sentiments
Car ce sont eux qui font me sentir vivant…

tres beau

merki

y'a surement des choses améliorer ^^

toujours aussi bien:o

Beau!

Voilà maintenant plusieurs années
Que j’ai perdu la foi ;
Plusieurs années où je suis torturé
Par mon manque de confiance en moi…
 
Je ne supporte même plus de me voir
A chaque fois que je me regarde dans un miroir,
A chaque fois que je me mets à boire
Pour noyer mon si profond désespoir…
 
Mais c’con là a appris à nager
Et je continue de sombrer…
S’ils voyaient dans quel état on doit me ramasser,
Mes parents seraient obligés de me renier…
 
Un jour, j’ai aperçu une étoile filante,
Si belle, si resplendissante,
Qui m’a fait croire à nouveau
Que la vie recèle encore de beaux cadeaux.
 
Pourtant tu restes insaisissable…
Je t’ai supplié de rester…
Chaque jour, ton absence me fait pleurer…
 
J’ai alors créé une nouvelle religion,
Où je place toute ma passion
Dans l’amour que j’ai pour toi.
 
C’est le seul culte que j’ai trouvé,
Qui me permet de croire en l’avenir
Et qui me pousse à me surpasser !
 
Je te suis totalement dévoué :
Partout où tu iras, j’irai !
Là où tu as besoin de moi, j’y serai !
 
Peu importe les difficultés,
Je vais les surmonter
Car il n’y que ca qui est important :
Je t’aime, tout simplement.

Que faire ?

Ma muse est comme ma bien-aimée :
Elle est là, elle m’attend,
Mais je ne l’ai pas trouvée
Alors que je la désire tant !

J’en viens à me demander
Si je dois en pleurer,
Si je dois continuer à les chercher,
Si je dois continuer à me crever

Pour quelque chose qui ne viendra sans doute jamais,
Si je dois continuer à penser
Que cette vie rêvée deviendra réalité…

Je ne demande pas la destinée
Des héros de contes de fées
Mais juste une Félicité bien méritée…

Mort de l’âme

Je suis déjà mort…
A cause de mes torts,
Mon âme va mourir
Alors que mon corps doit survivre…

C’est l’âme qui aurait dû monter
Et le corps qui devait, dans la profondeur de la terre, s’enfoncer !
Mais c’est mon âme qui creuse sa tombe dans ce corps et cette vie !
Elle se meurt… Elle pourrie…

Maintenant, elle est descendue
Dans le second enfer de sa vie !
Mon corps, lui, reste suspendu
Au premier enfer qu’est la survie,

La tourmente et l’ennui ;
Où la lumière et l’eau ne font plus la vie ;
Où le démon m’envahit
Afin de remplacer l’âme perdue à jamais dans les abysses de l’oubli…

Adieu

Il est temps pour moi de vous quitter,
Et ainsi de vous remercier
Pour tout ces bons moments passés
Ensemble, à déconner ou à bosser !

Je tiens aussi à m’excuser
Pour les fois où j’ai pu vous blesser,
Envers toutes ces personnes que j’ai pu ignorer
Alors qu’elles étaient en train de galérer…

Je vais donc partir
Vers un monde qui ne risque pas d’être pire
Que la traversée d’un désert de souffrances,

Qui m’a fait perdre l’endurance
Nécessaire pour s’accrocher à cette vie
Qui ne me suscite plus aucune envie…

Emotions… Démons !

On sent au loin la brise
Qui exerce son emprise,
On ressent les émotions
Qui nous mettent la pression,

Il faut se changer les idées…
Mais comment les extirper ?
On est complètement perturbé
Par l’ampleur du danger…

Comment ne pas être envahi
Par tout ces soucis ?
Comment sortir

Ce qu’il y a de pire :
Le démon qui, en nous, est enfoui
Ce démon qui me ronge et me pourri…

Vie et mort : errance éternelle

On m’a toujours condamné
Pour ce que j’étais !
Maintenant, j’erre
Dans mes hautes sphères…

Je me suis forcé
A devenir quelqu’un d’autre, à changer,
Mais ceux que j’ai rencontré…
Se sont fait tuer…

On a beau essayé de me persuader,
J’ai du mal à m’accrocher…
Je sens la vie m’abandonner…

Je la laisse filer,
Car je n’ai plus rien à espérer
D’un monde qui m’a fuit et rejeté…

Quelle question ? Quelle réponse ?

Je perds mon temps…
Je perds mon sang…
Elle est venue,
Mon ange déchue…

Elle s’est approchée,
Elle m’a murmuré
Que la mort n’est qu’une vie sans fin,
Que tu passes ton temps la tête dans tes mains…

Que je dois trouver une question…
Je réfléchis, les yeux rivés sur l’infini de l’horizon…
Trouvée ! « Vas-y ! Réponds ! »…

Voilà ce qu’elle m’a dit…
Je n’avais pas compris…
Trop tard, mon âme est partie…

Le temps

On sent la mort venir…
On ne connaît pas son avenir…
On voit le temps passer,
On voit le sang couler…

On a passé toutes ces années
A crier, à se tourmenter,
A ne pas savoir vers qui se tourner
Et à rester dans son silence, enfermé dans ses pensées…

Il n’y a qu’un geste à accomplir,
Qu’un pas à franchir
Pour rentrer en enfer et dans l’errance…

Dans la généralité de l’indifférence,
Les douleurs du corps disparaîtront,
Mais les déchirures de l’esprit continueront…

Frissons d’amour

Ne vous est-il jamais arrivé,
Sous la douce caresse de la brise d’été,
De penser à elle ? A la personne que vous aimez ?

N’êtes-vous jamais surpris
De vous réveiller la nuit
En pensant à elle car elle est votre principal souci ?

Dans de pareils moments
Vous sentez monter doucement
Cet intense frisson…

C’est la plus forte émotion,
La preuve ultime de notre amour
Pour cette personne qui nous préoccupe chaque jour.

Moi… ?

Oui, moi, qu’est-ce donc ?
« On te connaît », on me la toujours dit
Mais je ne sais pas qui je suis
Alors peut-on me connaître ?

Qui suis-je… ?
Beaucoup avant moi se sont posés la question
Je sais aussi qu’ils ont trouvé la réponse, tôt ou tard
Mais moi… ?

Qui suis-je… ?
Ce que je parais être ? Un boulet ? Jamais sérieux ?
Froid ? Laid ? Je suis cela dans la vie
Mais ce n’est pas moi.

Qui suis-je… ?
Je m’arrête et plonge mon regard dans l’infini de la nuit,
Je me sens mal au fond de moi…
Je dois trouver ce que je suis ;

Je cherche…
Mais tout ce que je sens est un manque
Suivi des mêmes images : des filles,
Venues tout droit d’un rêve ou réelles…

Donc je suis…
A fleur de peau, je pense à chacune d’elle
Avec une histoire différente à chaque fois…
Plus j’y pense, plus mon cœur s’emballe…

J’ai dû toutes les aimer à un moment donné…
Aimer ? Je ne l’ai jamais dit,
Jamais avoué, toujours refoulé…
J’ai peur de mes sentiments… ?

Qui suis-je… ?
Peureux, lâche et seul…
Triste…
Je pleure…

Mélancolie

Tout seul dans la nuit,
Les ténèbres m’envahissent…
Je me sens perdu,
Je panique…

Puis mes pensées s’arrêtent :
Je vois un visage…
Oui, ton visage !
Je tends la main

Pour caresser ta joue…
Mais tu m’échappes !
Non ! C’est moi qui m’enfonce
Dans mes ténèbres…

Tu tends la main à ton tour ;
Tu attrapes la mienne
Et une lumière aveuglante nous envahit…
Et puis je me mis à voir…

Des souvenirs de toi avec moi…
Ces moments où mon cœur n’était pas troublé,
Ces doux moments où tu étais à mes cotés,
Ces moments… perdus à jamais…

J’ai froid… Je pleure…
Tu es loin, trop loin pour moi
Mais je ne pense qu’à toi…
Tu me manques…

Tu me manques

Dans ces grands moments de solitude,
Le visage caressé par le vent
Et les yeux rivés vers l’infini,
Je pense à toi.

Je m’enfonce dans la mélancolie
Je me souviens encore de cette soirée
De ces instants gênants
Mais si intense :

Nous nous regardions,
Les yeux dans les yeux,
Sans s’en détourner.
Tes yeux brillants comme l’agate…

Comme j’aurais aimé
Encore les contempler,
Rester face à face

A s’échanger des sourires.
J’aurais aimé te dire…
A quel point tu comptes pour moi…

Le départ

J’attends ce moment
Où les rideaux grisâtres de ce monde s’envoleront ;
J’attends ce moment
Où la lumière se révèlera à moi,

Si pure, si intense.
Cette lumière presque agressante
Qui laissera place à un paysage magnifique,
Symbole d’une félicité tant attendue…

Adieu à ce monde…
Mes yeux se voilent…
Laissez-moi m’en aller…
Ne pleurez pas pour moi,

Je rejoins le panthéon de mes ancêtres.
Je vais en paix
Et je quitte enfin cette terre,
Théâtre d’une peine sans nom.