réponse à Mlle

Invité

Le regard perdu vers l'avenir, Nafout est plongé dans ses pensées...

Assis sur un banc, dans ce parc, à l'orée d'un bois de chênes et de cèdres, ou le temps s'est arrêté depuis des siècles...le tout, bordé d'une rivière sirupeuse et alanguie...Nafout profite de cet instant d'intense félicité, pour se plonger en lui même, et redessiner le cours de sa vie.

Un soleil timide, et une brume légère, sur la surface de l'eau, donne un atmosphère presque irréelle, à l'ensemble.

Quel moment merveilleux, en cet instant...ou plus rien n'existe à part la beauté du moment.

Soudain, au loin, sur le petit chemin de terre, serpentant entre les arbres, une silhouette apparait.

Les contours de celle ci ne sont pas encore bien formés, mais cela ne laisse aucun doute, qu'en au rythme de sa course...

c'est un joggeur solitaire, de début de matinée.

Nafout, sans faire vraiment attention, reste la, regard bloqué, sur ce nouvel arrivant.

Et après quelques minutes d'observation, le nouvel arrivant se trouve être une nouvelle arrivante.

La silhouette, aux contours enfin formé, ne laisse aucun doute sur ce sujet.

Une femme, au corps magnifiquement équilibré, dont un leggins, et un top moulant, ne laisse aucune place à l'imagination, mais plus à la gourmandise du parcours des yeux, le long de ses courbes généreuse, cours doucement, au milieu de ses propres rêveries.

Arrivée à la hauteur de Nafout, la femme s’arrête doucement, fait quelques sots sur place, se penche pour s'étirer doucement...et voyant enfin le banc, se dirige vers celui ci, c'est à dire, vers Nafout aussi.

Avec un grand sourire, qui éclaire tout son visage, elle demande implicitement, la permission à Nafout.

Celui ci, la lui donna, de la même façon, avec un grand sourire.

Doucement, elle mit un pied sur le banc, et se pencha pour s'étirer...ce qui permis à Nafout de plonger son regard dans le spectacle de monts et vallées, qui lui était offert.

Un sourire en coin, ne laissa aucun doute à Nafout, qu'en au faite qu'elle sache très bien, ou se trouvait son regard.

Invité

aurais-tu trouver une muse ?

;-)

Très joli texte pour un si charmant personnage Smile

Invité

"Bonjour", dit elle.
"Le mieux, c'est qu'on se présente, vu que désormais, vous avez fait connaissance, avec mes seins".
Nafout, prit au dépourvu, répondit:
"Euh...oui...yannick....enfin, Nafout. C'est mon surnom"
"Enchantée", reprit elle.
"Alors je vous présente Bob et Martins" Dit elle, en posant ses mains, sur ses seins.
"Et moi, c'est Déborah"
"Enchanté également" Dit Nafout.
"A vous aussi, Bob et Martins...c'est un plaisir de vous voir"
Déborah éclata d'un rire franc, à la plaisanterie de Nafout.
Par provocation, elle répondit: "Et encore, vous ne les avez pas bien vu" et alliant le geste à la parole, elle souleva son top moulant, laissant apparaitre une poitrine nue, de taille modeste, mais bien formée.
Nafout, jouant le jeu, dit alors:

"permettez moi de vous tendre la main", et d'un geste lent, mais assuré, alla toucher le sein gauche.
Surprise, elle laissa faire.
Il n'en fallu pas plus, pour encourager Nafout.
Il n'eut pas beaucoup de chemin a faire, pour que sa bouche, rejoigne sa caresse.
Lentement, il dévora e téton, qui devint turgescent, sous les assauts d'une langue agile et experte.
Le goût du parfum naturel, mêlé à la transpiration de la course, le stimula comme un animal, et décupla son désir.

Invité

Déborah sentie qu'un tournant, sur sa journée était arrivé...soit elle cédait à ses pulsions, qui au fond de son ventre, grognaient...soit frustrée, elle reprenait sa course.
cet homme inconnu, ni beau, ni moche, mais assurément charmant, ne semblait pas vouloir laisser la, la situation.
La provocation, chez elle, était une seconde nature...mais la, elle trouva un homme, sur son chemin, qui semblait être amusé, et surtout, qui voulait assumer.
Prise à son propre jeu....elle n'avait finalement, pas beaucoup le choix.
Et en plus, il était doué, ce Nafout.
Avec sa langue, il savait stimuler ce téton, qui ne demandait que ça. Les vagues de chaleur, étaient un signe suffisamment clair, pour ne lui laisser aucun doute, sur la suite des événements...
Elle ne connaissait pas cet homme, il y a 5 minutes, mais désormais, elle avait envie de lui...maintenant...et c'était pas, les minces couches de vêtements qu'elle avait qui changerai quoi que ce soit, pour la réalisation de ses projets futurs.

Nafout comprit tout de suite qu'elle avait abandonnée la lutte.
Elle était belle.
Elle était la.
Elle était à lui.

Il se leva doucement, du banc, et abandonna temporairement, ce sein offert...
désormais, face a elle, il se colla volontairement à elle, pour qu'elle sente, à travers son leggins, qu'il n'était pas insensible à ses charmes.
Elle ne fit rien pour l'en empêcher.
Nafout profita du moment, pour glisser ses mains, sur les fesses de Déborah, par dessus ce tissu, collé à la peau.
Il ne fut pas étonné de ne ressentir aucun élastique, signe d'un sous-vêtement quelconque....non...elle ne portant rien de plus que son leggins...Ce qu'il vérifia, avec grand plaisir, en glissant ses mains, sous celui ci....en contact direct, avec la peau qui l’électrisa tant.
Le temps n'avait plus d'importance...seuls, ces deux corps, collés l'un a l'autre, dans une fièvre qu'il devient impérativement bruler.